Calidoscope 'Dimanche#33 : toute la lumière sur Cécile Brun !!

J'ai décidé, chaque dimanche, (en principe journée assez calme où on peut prendre le temps de lire un petit article) de publier, pour les auteurs qui le souhaiteront et qui m'en feront la demande par MP sur Facebook, un petit coup de pouce, une publicité pour leurs œuvres, afin de vous les faire rencontrer ou de mieux les connaitre.
Auteurs auto édités, édités par de petites maisons, ou même édités par de plus grosses mais qui estimeraient qu'on n'a jamais assez de publicité, je parlerai de leurs ouvrages, de leur actualité, dans la mesure des renseignements qu'ils voudront bien me donner.

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Le "Coup de Projo du dimanche" s'appellera désormais "Calidoscope 'Dimanche : Toute la lumière sur..." J'espère que vous ne serez pas complètement traumatisés par ce changement et que vous continuerez de suivre nombreux ce rendez-vous :P

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Aujourd'hui, Cali braque ses projos sur une auteure qu'elle a eu la chance de corriger une fois, Cécile Brun.

- Le Calidoscope vous raconte Cécile:

La quarantaine, Cécile a plus d'une corde à son arc. Écrivaine, certes, elle est aussi animatrice radio,une radio chartraine qui comporte  60 000 auditeurs...

Elle a beaucoup voyagé, et longtemps vécu sous les tropiques, en nouvelle-Calédonie où elle fut institutrice de maternelle, puis plusieurs années en Australie où elle fut journaliste, elle avait sa propre page dans un journal mensuel.

Totalement bilingue, elle a donc une double nationalité.

Passionnée par les fées depuis sa plus tendre enfance, elle a pris énormément de plaisir à écrire Chionatée. Ce qu'elle préfère en tant qu'auteure, hormis le plaisir d'écrire évidemment, c'est assister à l’accueil du public pour ses écrits et recevoir des avis de lecteurs tels que ceux que je vais vous dévoiler plus bas. L'un d'eux lui a écrit "tout oublier dans l'univers imaginaire qu'elle a crée.".

- Retour sur sa bio "officielle" :

Élevée dans les années soixante-dix par des parents hippies, qui considéraient l’éducation de façon empirique, d’autant que l’un était spécialiste en psychologie, l’autre en philosophie, j’ai passé mon enfance et ma jeunesse à parcourir la France et ses « grands » alentours de façon pittoresque. De la découverte de l’Irlande en roulotte aux longs séjours en Scandinavie, j’appris à ouvrir les yeux sur la beauté variée du monde. Rétrospectivement, je me rends compte à quel point ce mode de vie était romantique. Après des études de lettres que j’estimais insuffisamment centrées sur la création littéraire, je partis en Nouvelle-Calédonie pour devenir institutrice en brousse. De là à immigrer dans la grande île voisine, il n’y avait qu’un pas que je sautai allègrement, puisque je fus successivement professeur de français à l’Alliance Française de Perth puis journaliste à Sydney.

J’avais une page intitulée Face à face dans un journal franco-australien. Cela m’apporta la chance d’interviewer Philippe Djian, qui m’affranchit des diktats sévères hérités de l’université. En bref, il me conseilla : « Si tu veux écrire, n’écoute que toi-même et lance-toi ! »

De retour en France, je gagnai un petit concours d’écriture dans Marie-France puis me lançai dans l’écriture de mon premier roman, qui fut édité sous le titre Un baiser de trop.

(biographie publiée sur le site des Editions Laska)

- Un baiser de trop :

Première publication de Cécile, un baiser de trop fait partie de ce que l'on appelle la littérature sentimentale.

 

A priori, comme ça, ce n'est pas spécialement un genre qui m'attire, notamment parce que d'habitude, les couvertures à la Harlequin me rebutent un peu. Pourtant, celle-ci me parait différente. Les éditions Amorosa paraissent tenter de se détacher du "modèle harlequin" avec des couvertures beaucoup plus attrayantes, merci pour nous ! :)

Un baiser de trop est en vente depuis mai 2011, au format numérique pour 2,95€.

Il a reçu l'accueil suivant, de la part d'un journaliste de Nevers :

- L'ennemi adoré de Chionatée :

Seconde publication  pour Cécile, l'ennemi adoré de Chionatée. En juin 2011, une personne appelée Cécile Brun me contactait pour une correction. Une histoire de bataille rangée entre deux clans de fées qui se haïssent depuis des génération. Histoire de guerre, mais surtout histoire d'amour. (Bien sûr, on ne change pas une équipe qui gagne, Cécile et les histoires d'amour, c'est une affaire qui roule !)

Si j'espère l'avoir un peu aidée à parfaire son texte, il est évident qu'il était de toute façon parti pour la publication chez Laska. La qualité, l'originalité, et le style étaient là. Et sa nouvelle paraît en mars 2013 au format numérique toujours.

Titre : L’Ennemi adoré de Chionatée
Auteur : Cécile Brun
Date de parution : 14 mars 2013
Collection : Heure bleue (fantasy)
Longueur : 12 000 mots (nouvelle)
Sensualité : doux

 Résumé : La belle Chionatée ne connaît rien d’autre que le pays des fées de glace, dont sa mère est la reine. Or, selon une ancienne prophétie, le jour est proche où le royaume entrera en guerre contre les elfes de feu, et c’est Chionatée elle-même qui devra mener la lutte. Mais comment s’y prendre quand on est jeune et sans expérience, et surtout que l’on n’a pas la moindre envie de combattre ? Défiant ce destin tout tracé, la fée décide de s’envoler vers le territoire de ses ennemis. Qui sait si, en dépit de leurs différences, l’un des leurs saura entendre et partager sa cause ?

Une couverture épurée tout en étant colorée pour une histoire charmante mélaneant romance et fantasy. Un vrai régal.

Kelly en a fait une chronique plus que complète, dont voici l'extrait qui m'a le plus frappée :

"J'ai complétement été envoûtée par cette histoire. Je ne suis pourtant pas une adepte de fantasy mais la finesse avec laquelle l'auteur  partage avec nous son monde ne peut que nous plaire. La description n'est pas lourde, elle est juste ce qu'il faut, pas plus, pas moins. Je dirais même qu'à certains moments elle devient poétique."

Cécile, une auteure à découvrir donc, déjà parce que c'est une personne humainement parfaitement adorable, ensuite parce que sa plume a un petit quelque chose, qui rend les genres plus flous, moins restrictifs et permet des mélanges absolument délicieux. Une romance dans un univers fantasy, de la littérature sentimentale qui ne tombe pas dans le dégoulinade, mais une écriture plus moderne, plus pêchue, pour plaire aux lecteurs les plus réticents au genre. Une auteure qui vit avec son temps, le temps de la publication numérique.

Soyez les bienvenus dans l'univers de Cécile !

Cali