Calidoscope 'Dimanche#26 : toute la lumière sur Alexis S.Z. !!

J'ai décidé, chaque dimanche, (en principe journée assez calme où on peut prendre le temps de lire un petit article) de publier, pour les auteurs qui le souhaiteront et qui m'en feront la demande par MP sur Facebook, un petit coup de pouce, une publicité pour leurs œuvres, afin de vous les faire rencontrer ou de mieux les connaitre.
Auteurs auto édités, édités par de petites maisons, ou même édités par de plus grosses mais qui estimeraient qu'on n'a jamais assez de publicité, je parlerai de leurs ouvrages, de leur actualité, dans la mesure des renseignements qu'ils voudront bien me donner.

*******

Le "Coup de Projo du dimanche" s'appellera désormais "Calidoscope 'Dimanche : Toute la lumière sur..." J'espère que vous ne serez pas complètement traumatisés par ce changement et que vous continuerez de suivre nombreux ce rendez-vous :P

 *******

J'ai bien failli ne pas avoir d'article à vous présenter aujourd'hui. Déjà, je me suis rendu compte seulement ce matin que je n'avais pas de candidat volontaire pour la date du jour (il était temps de réagir !) et en plus, je n'étais quasiment pas là de la journée ! Heureusement, y a parfois des auteurs qui trainent sur ma page Facebook (où je râlais ce matin :P ) et plus précisément un qui s'est désigné pour un article flash de dernière minute, même qu'il a tout rédigé lui-même et que je n'ai pratiquement plus qu'à copier-coller, Trop la classe, trop d'la balle :D

Aujourd'hui, Calidoscope 'Dimanche présente (donc) (finalement) : Alexis S.Z.

Pour info, je le connais (très peu) car c'est un auteur auto-édité, qui contacte donc lui-même les blogueurs qui l'intéressent (enfin j'espère qu'il ne contactent que ceux qui l'intéressent, sinon c'est vexant, mdr) pour leur proposer de lire ses livres et d'éventuellement parler un peu de lui. Et je dois dire que j'ai toujours trouvé ce genre de démarche très courageuse, et flatteuse pour nous qui la recevons, du moins, quand elle est faite avec autant de gentillesse, de politesse, et d'humour que celle d'Alexis.

Il se trouve que je n'ai pas (encore) lu sa trilogie, d'abord parce que je n'ai pratiquement plus le temps de choisir mes lectures, et ensuite, parce que c'est au format numérique, et que je dois bien le dire, à la "Casa Cali" c'est encore les livres papiers qui ont la priorité, il est rare que je sorte ma liseuse que j'adore pourtant. (Tu vas voir qu'un de ces 4, je vais vouloir la mettre en route, et qu'elle ne fonctionnera tout simplement plus, j'aurai lu 3 livres dessus, BREF !)

Voilà donc tous les renseignements sur Alexis et son œuvre, pour vous aider à le découvrir/mieux le connaître et sûrement vous donner grande envie de faire connaissance avec Moi, l'indien. Je raccroche le micro, et donne entièrement la parole à Alexis, le mieux placé pour parler d'Alexis !! :)

- La petite bio !

Né en 1979, j’ai toujours vécu en banlieue parisienne, principalement des villes du 94.

J’ai toujours écrit et dessiné. Mon trait au dessin étant resté assez dadaïste et maladroit et l’écriture étant ma vraie passion, c’est vers cette seconde option que je me suis dirigé.

Je n’étais pas fait pour les études et ai abandonné en cours de lycée. Ayant suivi des petits boulots comme tout le monde ou presque (surtout de l’animation dans les écoles) j’ai ensuite construit peu à peu mon petit réseau pour vivre de ma plume.

 Voulant varier les expériences et cherchant le travail là où il y en a, c’est-à-dire un peu partout mais jamais au même endroit, j’ai écrit un peu de tout et dans un peu tous les domaines, toujours en tant que freelance pour éviter le salariat, les 35 heures et le plan retraites.

 J’ai ainsi été lecteur de scénars pour tf1 (j’ai vraiment lu que des merdes et je pèse mes mots), scénariste/game designer pour des jeux vidéos, un peu de scénar télé, du rédactionnel pour des sites internet, de la pub et de la communication, du scénar B.D. (publications dans Tournesol, Le Pèlerin, Pirates Mania)... et ai à côté démarché des tas de projets personnels télé, ciné et B.D. qui n’ont jamais été pris.

 Il y a de cela un an ou deux, je me lance dans les eBooks en écrivant principalement des guides pratiques (voyages, bien-être, grammaire...) et en faisant tout moi-même : le contenu, la couverture, la description, le prix ! Pas besoin d’éditeur, je m’autoédite tout seul comme un grand sur Amazon, Lulu, Chapitre.com et j’en passe. Je deviens ainsi totalement indépendant et quitte définitivement les clients. C’était le but ! J’ai eu très  peu d’expériences vraiment positives en tant qu’auteur lié à des clients, et je n’ai pas hésité à me débarrasser de ce début de réseau que j’avais eu pourtant tant de mal à bâtir. Le monde de l’écriture n’est vraiment vivable que lorsqu’on écrit pour soi-même et les clients sont des têtes de veau dans 99 % des cas. (mdr, je n'ai pas de mal à le croire)

( Ne vous fiez pas à ces photos, il m'en a envoyé parce que j'ai beaucoup insisté, mais je suppute que ce petit air revêche qu'il affiche soit pour se donner un genre, parce qu'en vrai, il est adorable et on s'en rend très vite compte en échangeant deux minutes avec lui ^^) (ou alors c'était pour me faire une blagounette, possibeul.)

- L'aventure de Moi, l'indien :

Depuis plusieurs années j’étais dans l’écriture d’un roman, « Moi l’indien ». Je l’ai rédigé presque sans contrainte, en n’hésitant pas à abandonner six mois d’affilée pour m’y remettre un beau jour. Si je place les étapes de plume bout à bout, je n’ai peut-être pas mis si longtemps que cela.

En toute logique je l’ai sorti en autoédition sur mes plateformes habituelles. Pour qu’il convienne mieux au format eBook je l’ai scindé en trois tomes, dont j’ai rendu le premier gratuit. Je cherche depuis à le faire connaître auprès des lecteurs, ce qui est un véritable parcours du combattant en vue des quelques dizaines de milliers de « concurrents », si tant est qu’on puisse les nommer ainsi.

« Moi l’indien » se fait peu à peu une place sur la toile, et je suis assez satisfait des retours, notamment ceux des blogueurs littéraires que j’ai contacté (vous pouvez en lire des extraits sur la présentation du livre).

AUJOURD’HUI ? DEMAIN ?

Mon but désormais dans la vie est de partager mon temps entre les eBooks, les projets artistiques persos (notamment du street-art) et le militantisme social et politique (très proche de la ligne d’Egalité & Réconciliation, le mouvement d’Alain Soral. J’assume !).

Quant à mon avenir je n’en sais rien car je n’ai aucun plan de carrière, et surtout je pense que le mien comme le vôtre risque bien d’être chamboulé ces prochaines décennies par l’effondrement économique globalisé et les risques de guerres et de pénuries. Pour tout dire, mon an 2100 de Moi l’indien est une vision plutôt optimiste des choses. Dans la réalité, je conseille surtout d’avoir un pied à terre à la campagne avec un puits et des pièces d’or. Comprenne qui pourra. (Je suis mal barrée dans ce cas ! Lol )

- Synopsis saga :

 En 2100 sur les routes de l’hexagone, l’imprévu est toujours au rendez-vous pour les petits fugueurs. Pour le meilleur comme pour le pire...

Moi L’indien conte les (més)aventures d’Emilie et Benjamin, deux enfants d'une douzaine d'années perdus dans le monde des grands. De rencontres en courses-poursuites, d’espoirs en abîmes, les deux enfants poursuivront une ambition folle, un rêve qu’il n’est pas permis d’avoir.

 Un parcours initiatique à la fois rock n' roll, poétique et intense, avec une pointe de fantastique et de S.F.. La dureté du monde entourant les enfants est brute, crue, sans tabou ni concession. Une « road story » composée de moments tragiques, drôles ou sensuels. Une quête utopique au cœur d’un univers partagé entre haine et passion, violence et tendresse.

Partie I, Les enfants de l’an 2100 :

Benjamin le parisien profite de la nuit pour faire les quatre cents coups. Emilie la provinciale s'ennuie ferme face à une mère qui la délaisse. En eux gronde une colère risquant de s’embraser pour ne plus jamais s’éteindre. Pourtant, les enfants vivent loin l’un de l’autre et ne se connaissent pas. Rien ne semble les prédestiner à se rencontrer. A moins que le hasard, ou bien un ange, n’en décide autrement...

Partie II, Putains d'Anges-Farceurs :

Les routes d'Emilie et Benjamin se sont croisées et ne semblent plus pouvoir se quitter. Leur signalement donné, chaque kilomètre à parcourir devient un périple... Leurs bêtises, dont certaines irréparables, s'accumulent, et le filet se resserre. S'ils parviennent à brouiller les pistes grâce à un train de fret, l'ange d'Emilie semble également les suivre coûte que coûte. Mais cette entité leur veut-elle vraiment du bien ?

Partie III, Evil give me a Deal :

Tout semble joué pour les deux petits fugueurs dont le moment de la capture semble se rapprocher à chaque instant. Pourtant, Ben l'a juré à l'assistante au téléphone : "Vous n'avez encore rien vu". Emilie et Benjamin vont rivaliser d'imagination pour mener leur révolution à son terme et échapper de nouveau aux griffes du monde adulte. Emilie le sait : grâce à son ange et à leur sens de l'improvisation, tout est encore possible.

MON POINT DE VUE SUR MOI L’INDIEN

Mon idée était d’écrire avec style en mêlant la poésie au langage urbain et trash de la rue. Cette histoire se veut sans tabou et est parfois choquante je pense, en tout cas en a choqué plus d’un. Il faut y voir une sorte de conte urbain futuriste, allégorie de nos emprisonnements intérieurs et de nos forces.

DES LIENS

http://www.amazon.fr/Moi-lindien-Partie-enfants-ebook/dp/B008BGT4KC

DES CONSEILS CULTURE :

En BD, le concombre masqué pour découvrir l’humour absurde. Philémon pour dévorer une œuvre qui dépasse de loin Alice au pays des merveilles. Les cités obscures pour explorer les mondes parallèles.

En roman, le voyageur imprudent de Barjavel, 1984 d’Orwell et Bilbo le Hobit de qui vous savez.

En pas roman, tous les livres de KontreKulture.com, pour ne plus se laisser avoir par la pensée dominante.

En film, les vieux Gabin et surtout Les enfants du paradis.

LE MOT DE LA FIN

Allez quoi, téléchargez le tome I de Moi l’indien, c’est gratuit vous ne risquez rien. Et si par bonheur vous avez aimé,  la totalité de l’histoire vous coûtera moins de 3 euros, et n’oubliez point qu’un auteur autoédité n’a que le bouche à oreille pour tourner (réseaux sociaux, blogs, etc.).

UN REGARD RAPIDE SUR MES AUTRES ACTIVITÉS ?

Du body painting...

Des toiles...

Du street art...

Ehhhh, nan !! Le mot de la fin, il est pour Cali ! (chuis chez moi, quand même, oh !) Mais en fait, il est pour dire à peu près le même que le tien Alexis. Chers amis, mes lecteurs ! Poussez votre curiosité pour aller découvrir la première partie de ce roman, il est absolument et LÉGALEMENT gratuit ! Si vous aimez, et au moins vous en serez certains après cet "échantillon offert", la totalité du roman ne vous coûtera presque rien !! Alors on se lance, on le lit, on l'aime, on en parle ! Zou, zou, zou !

Cali

Comments

[la calidoscope]

mouahahah !! ^^



T'es vraiment trop sympa ma Mélu :D

[Melusine1701]

Moi j'ai lu sa trilogie, elle est pas mal du tout (mon préféré est le tome 2 qui est vraiment bien!!!)

Tiens Cali, comme je suis sympa, j'enrichis ton article: http://mabouquinerie.canalblog.com/archives/2012/08/31/24996515.html

:p

[la calidoscope]

merci pour ton passage ma Juju <3 (tention de pas trop lui faire des compliments, il va vouloir te faire des bisous après ! :D )

[lire-une-passion]

Oh mais c'est qu'il a pleins de cordes à son arc ! :D

En tout cas tout ce qui touche l'art j'aime beaucoup (le body painting surtout ^^)

Bon, je tenterai peut-être un jour son livre, alors ^^

Sinon je trouve qu'il a une bonne bouille moi :p (ouais bouille c'est pour les petits, mais après tout nous restons tous petits xD pis j'avais envie de le dire, d'abord! Na!)

Bisous ma Cali ♥